Salut à tous, aujourd'hui je vais me plaindre, parce que depuis deux jours c'est le bordel, avec quelques petits brins de soleil par-ci par-là, mais très peu puisque globalement c'est la merde.
Hier, mon père a "découvert" que sa pauvre petite fille se droguait. Pardon que sa pauvre petite fille fumait des pétards. Y'a une nuance pour moi. Evidemment ça a été la crise, mais seulement pendant un p'tit moment puisqu'à 10h j'étais sorti de chez moi, et que je n'y suis rentrée qu'à 19H30. Ca m'a laissé le temps de réfléchir, et de me prendre une autre claque. Parce que ce matin-là mon père a décidé de ne plus me laisser la voiture (ça va être dur pour lui de me supporter dans ce cas), et il a aussi choisi de "démissionner" de son rôle de père (ça il me l'a dit ce matin). Donc ma réponse a été: "bah fait". J'cours plus après personne, c'est fini, y'en a marre. Que ce soit n'importe qui d'ailleurs, et c'est donc aussi valable pour la suite de ma journée.
Dans l'après midi, C. m'a dit: "Tu crois pas qu'il faudrait qu'on arrête maintenant?". Qu'on arrête quoi mec on n'a rien fait encore. On s'désire,
on s'tourne autour, on se cherche, mais on fonce pas. Pas compatibles? Ca doit être ça. Trop têtus? Aussi. Mais va falloir y remédier parce que moi ça m'gave un peu là. On passe pas une soirée ensemble à se draguer comme des dingues et à se désirer comme des "ioufs" (comme il dirait) pour que derrière il n'y est plus rien. C'est "vexant", "rabaissant" et énervant. Il faut donc prendre les choses en mains, et non pas dire "advienne que pourra", parce que ça aussi ça m'énerve. 
A part ça mes problèmes de filles sont revenus, après 2ans d'absence, et ça fout les boules, parce qu'être une fille et pas avoir ses règles, c'est le top. Mes nouvelles sautes d'humeur viennent sur'ment de là, qui sait. Et du bordel permanent dans lequel je vis. C'est insupportable de se dire qu'on aspire juste à être heureux mais qu'on peut pas parce qu'on vous en empêche. C'est c'que j'explique aux gens, moi j'suis heureuse, et j'veux juste que ça continue. Alors C. va aller se faire foutre, les parents non mais un peu quand même parce que ça m'gave, et on va prier, I. et moi, pour que j'ai mon concours à Toulouse. 
Après ce sera la liberté, presque totale, et ce sera bon.
J'suis en quête de travail, également, dans n'importe quoi tant qu'ça paye bien et qu'ça m'occupe mes journées. J'en ai marre de rien faire et la fac c'est nul. Enfin c'est bien mais faut être à fond quoi. Moi j'le suis pas du tout. J'ai donc postulé à l'hôpital, et j'vais m'attaquer aux maisons de retraite et tout ça très bientôt. 
Pour terminer la séquence mauvaise humeur de ces deux derniers jours, cette nuit j'me suis fait piqué par une bestiole, à l'oeil. J'ai mal, c'est gonflé, et douloureux, et ça m'gave :).

Voilà, c'est dit.